Sont proposés ici en téléchargement des dossiers réalisés pour la passation du CAPPEI. Je n’exerce aucune sélection parmi les dossiers qui me sont proposés.
Ils sont présentés dans l’ordre de leur publication sur ce site, des plus récents aux plus anciens.
Les actions à mettre en place pour engager les élèves dans leur scolarité afin de favoriser la persévérance
et limiter le décrochage. Dossier CAPPEI de Julie Gachet-Mogenier, née Zoll, présenté en 2020.
« La première chose est de réaliser que les processus émotionnels et cognitifs sont indissociables, et qu’il
convient de donner une place légitime à la dimension affective. Je suis convaincue qu’une relation éducative réussie
contribue à la réussite scolaire des élèves. Développer une relation de confiance mutuelle apporte aux élèves la sécurité
qui va leur permettre d’évoluer dans un climat positif. »
Redonner de la motivation à des élèves démobilisés par une pédagogie adaptée à leurs besoins.
Dossier CAPPEI d’Arnaud CLEMENT, présenté en Juin 2019.
« L’apprentissage n’est pas un processus linéaire. Il passe par essais, tâtonnements, erreurs, échecs...
Il y a donc pour les élèves un droit à l’erreur qui doit être reconnu et pris en compte. Le travail sur
l’erreur permet d’instaurer un climat de confiance dans lequel l’erreur n’est plus stigmatisée mais
devient un matériau collectif pour la construction du savoir.
Pour l’élève, le retour réflexif sur l’erreur est une voie propice pour accéder à une meilleure
compréhension de la notion étudiée. Par ce travail, il découvre aussi son propre fonctionnement
intellectuel et gagne en autonomie. »
Restaurer l’élève en ITEP :
pédagogie explicite et entraînement des fonctions exécutives, deux versants d’une réconciliation avec l’école.
Dossier CAPPEI de Gweltaz BROUDIC, présenté en Avril 2018.
« De nombreuses recherches en éducation ont montré qu’une pédagogie plus explicite
favorisait l’apprentissage, et en particulier chez les élèves les plus fragiles. Ces
recherches s’appuient non pas sur des théories pures mais sur la mise en œuvre
rigoureuse de protocoles expérimentaux, permettant d’ajuster la pédagogie sur la base
d’une « éducation fondée sur les preuves ».
D’autres recherches, issues des sciences cognitives, ont montré que le développement
des fonctions exécutives était essentiel pour réussir à la fois à l’école et dans le cadre plus
large des interactions sociales. Les facultés d’inhibition, de planification, la mémoire de
travail etc... constituent des facteurs prédictifs de la réussite. Elles font défaut chez
nombre de jeunes notifiés ITEP. »